Les secrets du vieillissement | Des rats pollinisateurs | Le premier climatiseur

Découvrez pourquoi votre site n’attire pas de visiteurs 🔍

Rendez-vous le 27.10 à 10h30 pour notre webinaire !  ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌   Votre site attire peu

Lire la suite »

Veille N°41: Les 5 actu de la semaine + Agenda

E-commerce, suggestion de recherche, Core Update… Toute l’info SEO de la semaine !  ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ ‌ Open

Lire la suite »

Dans Brief.science cette semaine, on vous explique les causes du vieillissement, on vous étonne avec des rats pollinisateurs et on vous raconte l’invention du climatiseur.

brief.science|
écouter l’édition Écouter l’édition
4 juillet 2022

Dans Brief.science cette semaine, on vous explique les causes du vieillissement, on vous étonne avec des rats pollinisateurs et on vous raconte l’invention du climatiseur.

decoration

Doses de science
COVID-19

Plus de 99 300 nouveaux cas positifs quotidiens de Sars-CoV-2 étaient recensés en France en moyenne sur sept jours, soit 60 % de plus qu’une semaine plus tôt, selon les chiffres publiés vendredi dernier par Santé publique France, un organisme public dépendant du ministère de la Santé. Le sous-variant BA.5, issu de mutations du variant Omicron, est désormais majoritaire en France. Le BA.5 est plus contagieux que le sous-variant Omicron BA.2, précédemment majoritaire, et plus résistant aux vaccins actuels. Il est associé à une plus faible augmentation du nombre d’hospitalisations et de décès, selon un article paru dans la revue Nature le 23 juin.

séparateur
CIMENT BIO

Des scientifiques américains ont mis au point une méthode non émettrice de CO2 permettant de produire du ciment dit « Portland » avec des microalgues. Habituellement, la production de ce type de ciment implique l’extraction et l’incinération de grandes quantités de calcaire, ce qui entraîne des émissions massives de CO2. L’équipe de recherche a cultivé des coccolithophores, des microalgues vivant dans le fond des océans, capables de produire naturellement du calcaire à partir du CO2 et de la lumière du soleil. L’Université du Colorado à Boulder a présenté ce nouveau procédé dans un communiqué de presse paru le 23 juin.

Image lienLire un article du magazine Geo sur le ciment, le matériau le plus consommé au monde.
séparateur
CANCER DU SEIN

Les cellules cancéreuses du sein se propagent dans le sang principalement pendant le sommeil, selon une étude publiée le 22 juin dans la revue Nature. Quel que soit le type de cancer, les cellules cancéreuses se propagent dans d’autres organes via la circulation sanguine, formant de nouvelles tumeurs appelées métastases. Des chercheurs suisses ont réalisé des prélèvements chez 30 femmes atteintes d’un cancer du sein, à différents moments de la journée ou de la nuit. Selon eux, la propagation des cellules cancéreuses s’accélère la nuit, car elle est contrôlée par des hormones, dont la mélatonine qui détermine le rythme veille-sommeil. Les auteurs espèrent que leurs résultats permettront de développer de nouvelles stratégies thérapeutiques contre le cancer.

Image lienLire un article du média Medisite sur le sujet.
séparateur
AUSTRALOPITHÈQUES

Les australopithèques d’Afrique du Sud sont plus âgés qu’on le pensait, selon une étude parue dans la revue PNAS le 27 juin. Une équipe de recherche internationale a daté à 3,4 millions d’années « Madame Pless », un crâne fossile de l’espèce Australopithecus africanus, découvert en Afrique du Sud. Ce crâne était jusqu’ici daté à 2,6 millions d’années. Ce spécimen est donc plus âgé que sa cousine Lucy, un fossile de l’espèce Australopithecus afarensis d’Afrique de l’Est âgé de 3,2 millions d’années. Ces résultats suggèrent que l’Afrique du Sud peut, au même titre que l’Afrique de l’Est, être considérée comme le « berceau de l’humanité ».

Image lienLire un article du magazine Science et Avenir sur le sujet.

décoration

À la loupe
Comprendre le vieillissement

Le vieillissement correspond à une détérioration progressive de la quasi-totalité des fonctions de l’organisme au cours du temps. Les causes de cette dégradation sont multifactorielles et interconnectées. Il existe aujourd’hui des preuves que le processus de vieillissement est malléable et qu’il est possible de le ralentir pour vivre plus longtemps en bonne santé.

Pourquoi on en parle
 

Deux études parues dans la revue Science le 23 juin montrent que certaines espèces au sang froid comme des tortues, crocodiliens ou salamandres ont un vieillissement très lent et de longues durées de vie par rapport à ce que laisse supposer leur taille. Pour certaines espèces de tortues, aucun vieillissement apparent n’a été observé. Cela ne signifie pas qu’elles sont immortelles, mais que le risque de mortalité n’augmente pas avec l’âge. Les chercheurs ont mesuré pendant plusieurs dizaines d’années les taux de vieillissement et la longévité de populations de 77 espèces de reptiles et amphibiens sauvages ou en captivité. Cette étude est la première d’une telle ampleur à étudier le vieillissement chez les espèces ectothermes, qui ne produisent pas de chaleur, contrairement aux mammifères. Les auteurs ont observé que les espèces dotées d’écailles, épines ou carapaces vieillissent plus lentement et vivent « beaucoup plus longtemps » que les autres. Le rythme de vie relativement lent des tortues contribue également à leur longévité.

En schéma
 
Schéma à la loupe
L’explication
 
La population mondiale est vieillissante

Le grand âge est le principal facteur de risque de pathologies humaines majeures, dont le cancer, le diabète, les troubles cardiovasculaires et les maladies neurodégénératives. Selon l’Organisation mondiale de la santé, une agence de l’ONU, « la population de personnes âgées de 60 ans et plus dans le monde aura doublé » en 2050 par rapport à 2020, en raison de la hausse de l’espérance de vie. Elle atteindra 2,1 milliards de personnes. La compréhension des mécanismes du vieillissement est nécessaire pour être en mesure de prévenir les maladies liées à l’âge. Depuis 40 ans, la recherche sur ce sujet connaît de grandes avancées. La biologie cellulaire et la génétique ont montré que le rythme du vieillissement est contrôlé à l’échelle cellulaire et qu’il est possible d’agir sur les mécanismes impliqués pour le ralentir.

Nous avons l’âge de nos cellules

Le vieillissement correspond à l’accumulation d’un vaste éventail de dommages moléculaires et cellulaires au fil du temps. Un article scientifique [PDF] de référence paru dans la revue Cell en 2013 énumère neuf mécanismes du vieillissement connus chez les mammifères. Un premier facteur est l’accumulation de lésions sur l’ADN, pouvant entraîner la perte d’une fonction, l’autodestruction ou la prolifération de cellules, comme dans le cas d’un cancer. Une autre caractéristique fondamentale du vieillissement cellulaire est l’accumulation de cellules « sénescentes ». Ces cellules ne peuvent plus se diviser pour en créer de nouvelles. L’une des causes est le raccourcissement des extrémités des chromosomes, appelées télomères. À chaque division cellulaire, les télomères raccourcissent. Lorsqu’ils sont trop courts, les cellules deviennent sénescentes. Elles s’accumulent alors dans l’organisme et abîment les cellules environnantes en sécrétant des molécules provoquant une réaction inflammatoire.

Prolonger la durée de vie en bonne santé

Diverses stratégies de rajeunissement ciblant ces mécanismes sont à l’étude. Des chercheurs ont démontré qu’il était possible de diminuer le nombre de cellules sénescentes chez des souris âgées, grâce à des molécules appelées sénolytiques, et d’augmenter ainsi leur durée de vie en bonne santé. La metformine, un médicament contre le diabète testé en essai clinique, réduit le risque de nombreuses maladies et affections liées à l’âge, comme la neurodégénérescence, l’inflammation chronique et la fragilité. Selon Miria Ricchetti, spécialiste à l’Institut Pasteur, une fondation privée à but non lucratif, une pilule ne peut cependant suffire à lutter contre la dégradation cellulaire, il faut aussi entretenir son hygiène de vie. « Les études vont toutes dans le même sens : aujourd’hui, le meilleur moyen de ralentir le vieillissement du corps est d’adopter une activité physique régulière et une alimentation saine et modérée », explique-t-elle. Les restrictions alimentaires prolongent également la durée de vie chez de nombreuses espèces en réduisant l’hyperfonctionnement des cellules.

Et chez les animaux ?

Presque tous les organismes vivants vieillissent, animaux comme végétaux. De très rares espèces, comme certaines tortues, ne manifestent qu’un vieillissement négligeable, voire aucun vieillissement observable. Des espèces sont même capables d’inverser leur processus de vieillissement et de retourner à l’état larvaire. C’est le cas de la méduse méditerranéenne Turritopsis dohrnii qui mesure 4,5 mm de diamètre et qui, lorsqu’elle est soumise à un stress, rajeunit pour retrouver la phase immobile de son enfance, un polype fixé au sol qui peut donner naissance à de nouvelles méduses. Généralement, plus une espèce est grande et lourde, plus la probabilité qu’elle vive longtemps est élevée. Quand les humains peuvent vivre un peu plus de 100 ans, la baleine boréale atteint près de 200 ans. Cependant, des animaux font exception, comme les rats-taupes nus. Ceux-ci ne présentent pas de signes de vieillissement et ont une longévité de 25 ans en moyenne, soit cinq à six fois plus que celle du rat ou de la souris, pour une taille similaire.

décoration

Pour aller plus loin

Image lien Les neuf facteurs du vieillissement expliqués en vidéo sur la chaîne YouTube Long Long Life.
Image lienUn article du CNRS Le Journal qui explique pourquoi nous vieillissons.
Image lien Lire notre article sur une nouvelle technique pour rajeunir les cellules.
facebook twitter mail

decoration

C’est étonnant
Des rats pollinisateurs
Image c'est étonnant
Rat sur un feijoa. Crédit photo : Carlos Matallana-Puerto.

Dans la ville de Duitama, en Colombie, le rat brun est le principal pollinisateur en milieu urbain des feijoas, un arbuste fruitier, selon une étude parue en juin dans la revue Ecology. Les rongeurs se nourrissent des pétales de l’arbre lorsque les fleurs sont ouvertes et fertiles, transférant du pollen sur leurs poils. En passant d’arbre en arbre, les rats participent ensuite à la pollinisation des feijoas. Le rat brun représente 88 % des passages d’animaux sur les feijoas, devançant les oiseaux, affirment les scientifiques. Le rat n’est pas le seul mammifère à se comporter comme un pollinisateur. La chauve-souris est responsable de la pollinisation de nombreux fruits, comme la banane et la mangue.

facebook twitter mail

Abonnez-vous pour continuer à recevoir Brief.science !

Vous pourrez ainsi explorer la science avec rigueur et curiosité, chaque lundi, grâce à notre équipe de journalistes scientifiques. S’abonner, c’est aussi soutenir un média indépendant et sans publicité, qui s’engage pour une information scientifique fiable et compréhensible par tous.

Je m’abonne

décoration

Sur nos radars
ÉTOILES MORTES

Les étoiles que nous voyons briller sont-elles déjà mortes ? La lumière se déplaçant à une vitesse de 300 000 kilomètres par seconde, nous les voyons avec un décalage. Pourtant, il est très peu probable que nous puissions voir des étoiles déjà mortes dans le ciel. À l’aide de photos et de schémas, l’astrophysicien et vulgarisateur Éric Lagadec nous explique pourquoi dans un fil Twitter court et ludique.

GUÊPE DU FIGUIER

Saviez-vous qu’en mangeant une figue, vous risquez de consommer aussi une guêpe morte ? Avant de devenir des fruits, les figues sont des fleurs emprisonnées qui ne peuvent compter sur le vent ou les abeilles pour être fécondées. Dans une vidéo TikTok, le compte Mylovelyplanet raconte comment le figuier dépend de la guêpe du figuier pour se reproduire et pourquoi celle-ci perd sa vie au cours du processus.

ZONE PROTÉGÉE

Le 1er mars 1872, le président américain Ulysse Grant inaugure le parc national du Yellowstone au cœur des montagnes Rocheuses, créant la première zone protégée au monde. Dans un nouvel épisode du podcast « Le Pourquoi du comment » sur Radio France, le naturaliste Bruno David explique l’intérêt de protéger des zones naturelles pour la biodiversité.

décoration

En vidéo
Notre émission sur l’hydrogène
Play video

Mercredi dernier, nous étions en direct avec Greg De Temmerman, spécialiste de la transition énergétique, pour parler de l’hydrogène comme vecteur d’énergie renouvelable. L’hydrogène est un gaz essentiellement utilisé dans l’industrie chimique et le raffinage des produits pétroliers. Il est considéré par certains comme « le carburant du futur », car il peut servir à générer de l’électricité et offre l’avantage d’être transportable et stockable, comme un carburant. Le problème, c’est qu’on ne le trouve pas seul dans la nature, il est présent dans l’eau et les hydrocarbures. Il doit donc être produit à partir d’une source d’énergie. Aujourd’hui, 98 % de l’hydrogène est produit à partir d’énergies fossiles via des procédés fortement émetteurs de CO2. Il faut donc réussir à produire un hydrogène décarboné et rentable.

facebook twitter mail

décoration

C’était il y a… 180 ans
L’invention de la climatisation

En 1842, le médecin américain John Gorrie vit en Floride, où la fièvre jaune et le paludisme, des maladies transmises par la piqûre d’un moustique infecté, font des ravages. À l’époque, John Gorrie est convaincu, à tort, que les effluves des marécages et la chaleur sont responsables de ces maladies. Pour rafraîchir les habitations et les chambres d’hôpital, il a l’idée de fixer une bassine de glace au plafond. Mais la glace est difficile à importer l’été et coûte très cher. Deux ans plus tard, il met au point un appareil en bois équipé d’un moteur à vapeur et de manivelles, qui condense puis projette l’air, permettant à l’air chaud d’une pièce de se refroidir. Aujourd’hui, tous les climatiseurs utilisent la compression d’air pour rafraîchir l’atmosphère.

Image c'était il y a
Reconstitution à l’échelle trois quarts de la machine de John Gorrie au musée John-Gorrie à Apalachicola, en Floride. Crédit photo : Ebyabe / Wikimedia Commons.
facebook twitter mail

C’est ici que votre pause scientifique de la semaine s’achève. On vous souhaite une bonne semaine à faire de vieux os.

Cette édition a été confectionnée par Morgane Guillet, Imène Hamchiche et Laurent Mauriac. Notre dossier principal a bénéficié de la relecture de Miria Ricchetti, chercheuse spécialiste des mécanismes du vieillissement à l’Institut Pasteur, et Vincent Geli, directeur adjoint du Centre de recherche en cancérologie de Marseille.

Qu’avez-vous pensé de
cette édition ?
1 2 3 4 5
1 étoile = pas top 5 étoiles = au top
Vous appréciez Brief.science ?
Faites-le découvrir à vos proches.
Ils pourront ainsi rejoindre nos abonnés et construire Brief.science avec nous.
J’invite un ami
brief.science|
facebook twitter twich mail whatsapp linkedin
Découvrez nos autres médias
brief.me|
L’actualité expliquée
brief.eco|
L’économie expliquée
Découvrir Brief.scienceQuestions fréquentesContact
Pour être sûr(e) de recevoir Brief.science, ajoutez « hello@brief.science » à votre carnet d’adresses.
Se désinscrireContact
                                                                 

Facebook
Twitter
LinkedIn
WhatsApp

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *