L’évolution du CO2 dans l’atmosphère | Un chromosome sexuel en plus chez certains hommes | L’invention de la pile électrique

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Dans Brief.science cette semaine, on vous explique les variations du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère au cours de l’histoire, on vous étonne avec un chromosome sexuel en plus et on vous raconte l’invention de la pile électrique.

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20 juin 2022

Dans Brief.science cette semaine, on vous explique les variations du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère au cours de l’histoire, on vous étonne avec un chromosome sexuel en plus et on vous raconte l’invention de la pile électrique.

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Doses de science
MALADIE DE LYME

14 % de la population mondiale a déjà eu la maladie de Lyme, selon une méta-analyse publiée le 13 juin dans la revue BMJ Global Health, qui regroupe les analyses sanguines de 160 000 individus du monde entier. Cette maladie se transmet par la piqûre d’une tique porteuse de la bactérie Borrelia burgdorferi. Elle s’accompagne souvent d’une rougeur de la peau et peut dans certains cas entraîner des symptômes plus graves comme des douleurs articulaires ou une inflammation nerveuse. Les auteurs de l’étude émettent l’hypothèse que sa prévalence a augmenté ces dernières années en raison du réchauffement climatique, qui a permis aux tiques de coloniser de nouvelles régions.

Image lienLire la note du ministère de la Santé consacrée à la maladie de Lyme.
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VOIE LACTÉE

Le télescope spatial Gaia, stationné à 1,5 million de kilomètres de la Terre, a livré une nouvelle carte de la Voie lactée, notre galaxie, a annoncé lundi dernier l’Agence spatiale européenne dans un communiqué. Gaia fournit de nouvelles informations sur la composition chimique, la température, les couleurs, la masse et l’âge de deux milliards d’étoiles, ainsi que la vitesse à laquelle les étoiles se rapprochent. Le télescope a détecté pour la première fois des tremblements stellaires, de minuscules mouvements à la surface d’une étoile qui en modifient la forme.

Image lienLire un article détaillé de Radio Canada sur le sujet.
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OURS POLAIRES

Des biologistes ont découvert une nouvelle sous-population d’ours polaires d’environ 300 individus, isolée depuis plusieurs centaines d’années, dans le sud-est du Groenland. Contrairement aux autres ours polaires de la région qui utilisent la banquise comme plateforme pour se nourrir, cette sous-population chasse le phoque sur les blocs de glace d’eau douce libérés par les glaciers. Selon les auteurs de l’étude, il s’agit d’un espoir pour les ours polaires, susceptibles de s’adapter à la disparition de la banquise causée par le changement climatique. L’étude est parue le 16 juin dans la revue Science.

Image lienLire un article détaillé du magazine Geo sur le sujet.
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COVID-19

Un dysfonctionnement du système immunitaire peut expliquer une partie des rares cas d’hospitalisation observés chez les patients doublement vaccinés contre le Covid-19. Une équipe de recherche française a suivi 48 patients âgés de 20 à 80 ans, doublement vaccinés contre le Covid-19, mais qui ont eu une forme sévère de la maladie. Environ un quart de ces patients présentaient des anticorps bloquant les protéines agissant contre le virus. Malgré l’hospitalisation de ces patients vaccinés, aucun d’entre eux n’est décédé. 20 % des personnes non vaccinées qui sont décédées présentent ces anticorps, précisent les scientifiques. Ce chiffre suggère que la vaccination a tout de même un effet bénéfique pour ces patients. L’étude a été publiée le 14 juin dans la revue Science Immunology.

Image lienLire le communiqué de presse de l’Inserm sur l’étude.

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À la loupe
Les variations du CO2 au cours de l’histoire de la Terre

Le CO2 ou dioxyde de carbone est un gaz à effet de serre naturel, présent dans l’atmosphère depuis la formation de la Terre. Sa teneur a beaucoup varié, passant de 10 % il y a 4,6 milliards d’années à 0,041 % actuellement. Le CO2 augmente depuis 150 ans en raison des activités humaines. C’est la première fois que cette augmentation s’effectue à un rythme aussi rapide.

Pourquoi on en parle
 

L’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, une agence fédérale des États-Unis, a annoncé le 3 juin dans un communiqué que le taux de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère a atteint 421 parties par million (ppm) en 2021. Cette mesure moyenne est 1,5 fois plus élevé qu’aux débuts de la révolution industrielle, au milieu du XIXe siècle. Elle a été enregistrée par un observatoire de référence situé à une altitude de 3 400 mètres sur le volcan Mauna Loa, à Hawaï. À cette altitude, l’air étudié n’est pas perturbé par la pollution locale ou la végétation (qui absorbe et rejette du CO2). Selon l’agence, les niveaux de CO2 sont désormais comparables à ce qu’ils étaient entre 4,1 et 4,5 millions d’années plus tôt. À cette époque, le niveau de la mer était au moins 5 mètres plus haut qu’actuellement et les températures étaient en moyenne de 3 °C plus élevées. Les auteurs rappellent la nécessité de réduire nos émissions de CO2 pour limiter le réchauffement climatique.

En schéma
 
Schéma à la loupe
L’explication
 
Un gaz à effet de serre

L’atmosphère terrestre est composée d’environ 78 % d’azote, 21 % d’oxygène, 1 % d’argon et de traces d’autres gaz. Parmi ces traces, on trouve 0,041 % de CO2, un gaz à effet de serre. Les variations de ce faible pourcentage de dioxyde de carbone suffisent à faire diminuer ou augmenter la température à la surface de la Terre. Sa teneur a augmenté de 50 % depuis 150 ans et la température moyenne globale sur Terre s’est élevée de 1 °C par rapport à l’ère préindustrielle (1850-1900). Le CO2 a pour effet d’empêcher une large partie de l’énergie solaire réfléchie par la surface de la Terre de repartir vers l’espace, se comportant ainsi comme une serre. Cette énergie augmente la température de l’atmosphère et une partie est renvoyée vers le sol qui se réchauffe aussi. Depuis la publication en 1990 du premier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) mis en place par l’ONU, il est établi que les activités humaines sont à l’origine de l’augmentation actuelle du CO2 dans l’atmosphère via la combustion d’énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz).

Le réchauffement climatique au temps des dinosaures

Ce n’est pas la première fois que le dioxyde de carbone augmente dans l’atmosphère. Pendant la période du Crétacé, de -145 à -66 millions d’années, les dinosaures ont également connu un climat plus chaud, associé à de fortes concentrations en CO2 et une absence de calottes polaires. Les fossiles de végétaux en Alaska montrent la présence d’arbres à pain typiques des climats tropicaux et des fossiles de dinosaures ont été retrouvés en Sibérie. Après l’extinction des dinosaures, il y a 56 millions d’années, le climat a subi un épisode de réchauffement rapide. En l’espace de quelques dizaines de milliers d’années, les températures mondiales ont augmenté de 6 °C et le taux de CO2 est passé à des valeurs oscillant entre 700 et 1 800 ppm. Les causes de ce changement sont encore mal connues. Contrairement à aujourd’hui, l’augmentation du taux de CO2 s’est étalée sur plusieurs milliers d’années, à un rythme 10 fois moins élevé qu’actuellement. Les changements de biodiversité ont tout de même été majeurs avec des épisodes d’extinction et de radiation dont témoigne le registre fossile.

L’impact humain

Depuis 55 millions d’années, le climat se refroidit sous l’effet d’une baisse naturelle et progressive de la teneur en CO2, provoquée principalement par le piégeage du carbone dans les roches sédimentaires. L’effet de serre a ainsi diminué, entraînant une baisse des températures. Depuis 2,5 millions d’années, le climat de la Terre alterne à intervalles réguliers entre périodes glaciaires et interglaciaires. Nous sommes aujourd’hui dans une période interglaciaire, une période au climat plus doux séparant deux glaciations. Cette alternance est due à des écarts d’ensoleillement liées à de petites variations de l’orbite de la Terre autour du Soleil, lui conférant plus ou moins de chaleur. Le CO2 oscillait ainsi naturellement entre 180 et 280 ppm depuis 800 000 ans mais ce taux a augmenté de manière radicale et inédite au siècle dernier. Selon les experts du Giec, c’est la première fois que l’atmosphère connaît un changement si rapide de la quantité de CO2 au cours de l’histoire de la Terre.

L’influence de la vie sur le CO2

Le travail des scientifiques a permis d’estimer l’évolution du CO2 depuis la formation de la Terre il y a 4,6 milliards d’années. L’atmosphère primitive était composée de 85 % de vapeur d’eau, de 10 % de CO2 (contre 0,041 % aujourd’hui) et dépourvue d’oxygène. La température à la surface de la Terre était de l’ordre de 1 000° C. Cette composition a depuis radicalement changé. L’air s’est peu à peu refroidi et la vapeur d’eau est passée à l’état liquide. Quant à la diminution du dioxyde de carbone et l’arrivée de l’oxygène, elles sont directement liées à l’apparition de la vie, il y a 3,5 milliards d’années. Les premières cyanobactéries dans l’océan ont développé une capacité de photosynthèse, un processus par lequel elles synthétisent de la matière à partir d’énergie lumineuse, d’eau et de CO2 qu’elles extraient de l’atmosphère et absorbent. Cette réaction libère en retour de l’oxygène. Il y a environ 2,4 milliards d’années, l’oxygène accumulé dans les océans grâce aux cyanobactéries a commencé à se diffuser dans l’atmosphère. Le développement des végétaux qui s’en est suivi a libéré à son tour de l’oxygène et a capturé du CO2.

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Pour aller plus loin

Image lienUn article du média The Conversation sur l’évolution du CO2 sur Terre.
Image lienUn dossier du média l’Esprit sorcier sur l’histoire climatique de la Terre.
Image lienDes infographies du ministère de la Transition écologique sur le réchauffement climatique.
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C’est étonnant
Chromosome sexuel supplémentaire chez les hommes
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Chromosomes. Crédit photo : GraphicCompressor / Adobe Stock.

Un homme sur 500 porte un chromosome sexuel en plus (X ou Y), selon une étude parue dans la revue Genetics In Medicine le 9 juin. Chaque être humain possède 23 paires de chromosomes, constitués d’ADN et présents à l’intérieur de chacune de nos cellules. Les 22 premières paires sont identiques chez les hommes et les femmes. En revanche, la 23e paire, qui correspond aux chromosomes sexuels, diffère selon les sexes : les hommes possèdent un chromosome X et un chromosome Y, tandis que les femmes ont deux chromosomes X. Les scientifiques ont analysé les données génétiques de 200 000 hommes britanniques âgés de 40 à 70 ans. Les hommes ayant un chromosome X ou Y supplémentaire (soit XYX soit XYY) sont plus susceptibles de souffrir d’un diabète, de développer une thrombose veineuse (caillot de sang dans une veine) et d’être touchés par une embolie pulmonaire.

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Sur nos radars
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Prenez un cintre et positionnez-le autour de votre tête, au niveau du front. Si vous l’avez placé correctement, vous devriez ressentir une rotation involontaire du cou. C’est le « réflexe du cintre ». Dans une vidéo très claire, la vulgarisatrice Viviane Lalande de la chaîne YouTube Scilabus teste cet étrange réflexe, abondamment documenté sur les réseaux sociaux, avant d’en expliquer les causes scientifiques.

PIERRE DE FOUDRE

Lorsqu’elle s’abat, la foudre peut faire fondre la roche ou le sable, donnant naissance à des éclairs pétrifiés. Dans une très courte vidéo publiée sur TikTok, la vulgarisatrice Valentine Delattre de la chaîne YouTube Science de comptoir nous raconte comment ce phénomène fugace peut laisser sa trace, images surprenantes à l’appui.

PREMIERS PAS SUR LA LUNE

Le 21 juillet 1969, l’astronaute Neil Armstrong s’apprête à fouler le sol lunaire pour la première fois dans l’histoire de l’humanité. Retransmis en direct à la télévision, l’événement transcende les frontières nationales dans un contexte de Guerre froide. « Les différentes idéologies qui nous divisent avaient disparu », se remémore un journaliste avec émotion. Dans un court podcast de France Culture, des archives inédites nous font revivre les tensions et les joies de cette journée historique.

En vidéo
Notre prochaine émission en direct sur l’hydrogène
Pour l’émission de ce mois-ci, vous avez choisi le sujet de l’hydrogène comme nouvelle source d’énergie renouvelable. La diffusion a été reportée et aura lieu le 29 juin à 20h30.

Notre invité sera Greg de Temmerman, chercheur associé aux Mines Paris PSL et directeur général du cercle de réflexion Zenon Research, spécialiste de la fusion nucléaire et de la transition énergétique.

Comment l’hydrogène produit de l’énergie ? Est-il réellement une énergie propre ? L’hydrogène sera-t-il l’énergie du futur ? Vous pouvez vous inscrire en cliquant ici.

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C’était il y a… 222 ans
L’invention de la première pile électrique

En 1800, le physicien italien Alessandro Volta empile des disques de zinc et de cuivre séparés par des buvards imbibés de saumure et parvient à créer un courant électrique continu. Il invente ainsi la première pile électrique. Son objectif principal était de démontrer que l’électricité animale n’existait pas et que le courant était généré par des métaux, contrairement à ce qu’affirmait le médecin italien Luigi Galvani. Quelques années plus tôt, ce dernier avait observé une contraction de la patte d’une grenouille morte placée sur une rambarde en fer dans laquelle était planté un crochet de cuivre et en avait tiré l’idée que la grenouille et non le métal était à l’origine du courant électrique.

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Schéma de la pile de Volta. Lorsqu’elles sont séparées, les lames de cuivre prennent une charge négative et celles de zinc une charge positive. Crédit photo : Wikimedia Commons.
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C’est ici que votre pause scientifique de la semaine s’achève. On vous souhaite une bonne semaine à déborder d’énergie.

Cette édition a été confectionnée par Morgane Guillet, Imène Hamchiche et Laurent Mauriac. Notre dossier principal a bénéficié de la relecture de Sylvie Joussaume, directrice de recherche au CNRS, Pierre Sépulchre, chargé de recherche au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement, et Marie-Alexandrine Sicre, directrice de recherche au laboratoire Locean.

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